Musique de France

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sábado, 29 de junho de 2013

Kenza Farah-Lettre du Front


Lettre Du Front
Kenza Farah
SEFYU :
Lettre du front, ici les combats font rage, déjà plus d'une année
passée loin de toi, Je ne compte plus le nombre de fois, ou j'ai relu tes
lettres pour y trouver ton soutien, c'est dans ton sourire que je puise
la force de me battre, jamais un hiver ne m'a paru aussi froid, un jour
je reviendrais, inch'allah.

KENZA :
J'ai lu ta lettre, et des larmes coulent de mes yeux, des perles salées
roulent sur me joues, le papier ce froisse sous mes doigt, déjà plus
d'un an loin de toi, à chacune des lettres du front, je tremble j'ai
peur j'ai froid, je te vois fière en uniforme, sur le quai de la gare paré
a partir, tu m'a promis de revenir, j'ai promis de te soutenir, tu
puise la force de te battre dans mes yeux et mon sourire.

SEFYU :
Oh, avant l'armée j'était tarmi dans l'quartier j'ai formé l'équipe la
plus cramé, les keuf étaient alarmé, zarma on a carné les mecs les plus
shtarbé, c'rap j'n'ai pas peur de t'fumé pour m'affirmer, ensuite trois
ans ferme la prison m'a enfermée, j'ai vue ce qui m'aimaient mieux qu'a
travers d'une paire de quartier, des pleurs je vais t'épargner en
m'engageant au front j'voulais tourné la page avant qu'on m'retrouve
contourné, du Rwanda au proche orient j'me suis inspiré l'état four m'a bien
changer des courses a carrefour, j'écris sur le carnet le déroulement
de chaque jour, pour que tu puisse comprendre ce que j'ressent durant
mes journées, t'inquiète la salope j'ai pas détourné, tu m'connais, je
suis borné l'auteur de la morbillard enfermé, y a une an qu'j'suis partit
pff le temps il passe chanmé, j'écris cette lettre entre l'assaut d'un
cocktail Molotov…

KENZA :
Tu m'a décris t'a vie la bas au fond des tranchées, tu parle d'une
odeur qui flotte celle de la mort, et tu t 'étais fais des amis, ils ont
disparues aujourd'hui, tu évite de m'en parler, tu ne veut pas que je me
fasse du soucis, du rêve la nuit de mon visage d'autre paysages, dans
ton cœur tout est détruit reste mon image, nous somme en plein mois de
décembre un second hiver loin de toi, la neige a la couleur du sang mes
mains sont brulées par le froid.

SEFYU :
Oh, j't'écris c't'énième lettres pour qu'tu comprenne que c'est la
dernière, car derrière moi, les tirs fusent les r'poussent en arrière, la
guerre n'a pas de barrière, je l'ai appris hier, quand une balle s'est
logée dans mes artères, j'suis par terre, j'vais partir, j't'embrasse
toi, embrasse mes supporters morts, avec la manière et le cœur d'un
bulldozer, j'ai compris qu'au casting de la mort y'a pas que la misère, qui
postule j'emmène ton visage a titre posthume.

KENZA :
Loin des tes yeux les miens ne voient plus rien, mon cœur ne bat plus
sans le rythme du tien, reviens moi, je t'en pris les souvenirs
m'assaillent, pourquoi donner ta vie sur un champ de bataille ?
Loin des tes yeux les miens ne voient plus rien, mon cœur ne bat plus
sans le rythme du tien, reviens moi je t'en pris les souvenirs
m'assaillent, tu as donné ta vie sur un champ de bataille..

SEFYU :
Un jour, je reviendrais, Inch'allah..

SEFYU :
Lettre du front, ici les combats font rage, déjà plus d'une année
passée loin de toi, Je ne compte plus le nombre de fois, ou j'ai relu tes
lettres pour y trouver ton soutien, c'est dans ton sourire que je puise
la force de me battre, jamais un hiver ne m'a paru aussi froid, un jour
je reviendrais, inch'allah.

KENZA :
J'ai lu ta lettre, et des larmes coulent de mes yeux, des perles salées
roulent sur me joues, le papier ce froisse sous mes doigt, déjà plus
d'un an loin de toi, à chacune des lettres du front, je tremble j'ai
peur j'ai froid, je te vois fière en uniforme, sur le quai de la gare paré
a partir, tu m'a promis de revenir, j'ai promis de te soutenir, tu
puise la force de te battre dans mes yeux et mon sourire.

SEFYU :
Oh, avant l'armée j'était tarmi dans l'quartier j'ai formé l'équipe la
plus cramé, les keuf étaient alarmé, zarma on a carné les mecs les plus
shtarbé, c'rap j'n'ai pas peur de t'fumé pour m'affirmer, ensuite trois
ans ferme la prison m'a enfermée, j'ai vue ce qui m'aimaient mieux qu'a
travers d'une paire de quartier, des pleurs je vais t'épargner en
m'engageant au front j'voulais tourné la page avant qu'on m'retrouve
contourné, du Rwanda au proche orient j'me suis inspiré l'état four m'a bien
changer des courses a carrefour, j'écris sur le carnet le déroulement
de chaque jour, pour que tu puisse comprendre ce que j'ressent durant
mes journées, t'inquiète la salope j'ai pas détourné, tu m'connais, je
suis borné l'auteur de la morbillard enfermé, y a une an qu'j'suis partit
pff le temps il passe chanmé, j'écris cette lettre entre l'assaut d'un
cocktail Molotov…

KENZA :
Tu m'a décris t'a vie la bas au fond des tranchées, tu parle d'une
odeur qui flotte celle de la mort, et tu t 'étais fais des amis, ils ont
disparues aujourd'hui, tu évite de m'en parler, tu ne veut pas que je me
fasse du soucis, du rêve la nuit de mon visage d'autre paysages, dans
ton cœur tout est détruit reste mon image, nous somme en plein mois de
décembre un second hiver loin de toi, la neige a la couleur du sang mes
mains sont brulées par le froid.

SEFYU :
Oh, j't'écris c't'énième lettres pour qu'tu comprenne que c'est la
dernière, car derrière moi, les tirs fusent les r'poussent en arrière, la
guerre n'a pas de barrière, je l'ai appris hier, quand une balle s'est
logée dans mes artères, j'suis par terre, j'vais partir, j't'embrasse
toi, embrasse mes supporters morts, avec la manière et le cœur d'un
bulldozer, j'ai compris qu'au casting de la mort y'a pas que la misère, qui
postule j'emmène ton visage a titre posthume.

KENZA :
Loin des tes yeux les miens ne voient plus rien, mon cœur ne bat plus
sans le rythme du tien, reviens moi, je t'en pris les souvenirs
m'assaillent, pourquoi donner ta vie sur un champ de bataille ?
Loin des tes yeux les miens ne voient plus rien, mon cœur ne bat plus
sans le rythme du tien, reviens moi je t'en pris les souvenirs
m'assaillent, tu as donné ta vie sur un champ de bataille..

SEFYU :
Un jour, je reviendrais, Inch'allah..


tradução


SEFYU:
 
Carta de frente, lutando grassa aqui, já mais de um ano
 
passou longe de você, eu não posso contar o número de vezes, ou eu li o seu
 
letras para encontrar o seu apoio, é no seu sorriso que eu desenhe
 
a força para lutar, nunca um inverno pareceu tão frio um dia
 
Eu gostaria, Inshallah.

 
KENZA:
 
Eu li a sua carta, e as lágrimas fluem de meus olhos, contas salgadas
 
rolar no meu rosto, as dobras de papel sob o meu dedo mais longo
 
um ano longe de você, a cada uma das letras da frente, eu tremo I
 
medo de que eu estou com frio, eu vejo você se sentir orgulhoso de uniforme, na plataforma da estação de pronto
 
de, você me prometeu voltar, eu prometo para apoiá-lo, você
 
tira a força para lutar nos meus olhos e meu sorriso.

 
SEFYU:
 
Ah, antes que o exército estava no bairro tarmi formei a equipe
 
mais queimado, o policial estava alarmado carne Zarma foi mais caras
 
shtarbé, c'rap não j'n'ai t'fumé medo de me afirmar, em seguida, três
 
prisão fixo ano me bloqueado, eu vi que eu gostava mais do que
 
através de um par de vizinhança, chorando Vou poupá-lo em
 
envolver meus j'voulais testa virou a página antes de m'retrouve
 
contornado, Ruanda para o Oriente Médio j'me'm me inspirou forno estado tem
 
mudança é executado numa encruzilhada, eu escrevi o livro sobre o curso
 
a cada dia, para que você possa entender o que j'ressent durante
 
meus dias, você está preocupado com a cadela Eu não seqüestrado, você m'connais I
 
têm limitado o autor do morbillard bloqueado, há um ano qu'j'suis esquerda
 
pff chanmé tempo passa, estou escrevendo esta carta do ataque de um
 
Coquetel molotov?
KENZA:
 
Você me tendes a vida até o fundo das trincheiras descrever, você está falando de um
 
o cheiro flutuando entre os mortos, e você t era fazer amigos, eles
 
falta hoje, você evita diga-me, você não me quer
 
fazer as preocupações, sonhos a noite do meu rosto em outras paisagens
 
o seu coração é coração tudo é destruído a minha imagem, estamos no mês de
 
01 de dezembro segundo inverno longe de você, a cor da neve meu sangue
 
mãos são queimadas pelo frio.

 
SEFYU:
 
Oh, j't'écris c't'énième letras qu'tu entender que este é o
 
por último, porque atrás de mim, atirando a r'poussent fusível,
 
A guerra não é uma barreira, eu aprendi ontem, quando uma bola é
 
alojado em minhas artérias, eu estou no chão, eu vou, j't'embrasse
 
você, beijo meus apoiantes mortos, e com a forma como o núcleo do coração de um
 
bulldozer, percebi que a carcaça da morte que não há miséria, que
 
postulados eu levo o seu rosto postumamente.

 
KENZA:
 
Longe de seus olhos não podiam ver o meu, o meu coração coração bate mais
 
sem o ritmo de vocês, minhas costas, eu vou tomar as memórias
 
assaltam-me, por que dar a sua vida em um campo de batalha?
 
Longe de seus olhos não podiam ver o meu, o meu coração coração bate mais
 
sem o ritmo de vocês, eu levei de volta minhas lembranças você
 
atacar, você me deu a sua vida no campo de batalha ..

 
SEFYU:
 
Um dia, eu o faria, Inch'allah ..
 

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